• Connasse, princesse des coeurs!

     

    Celui là je l'attendais! Quand j'ai vu la nana escalader le portail de Kensington Palace pour épouser le prince Harry, j'ai trouvé ça magique!

    La connasse par épisode de 3 minutes, elle est aimé, elle nous fait rire, ou elle énerve. La crainte c'est sur un format d'1h20, ça passe ou pas?

    La connasse, son sens de la répartie, confronté à la spontanéité des gens, on la retrouve. La même nana un peu folle, spontanée, odieuse, drôle, hors norme, créative et vivante. La même Parisienne égocentrique, Oh le pléonasme!

    Les blagues sont assez diluées... J'ai trouvé ça assez light. Quant au scénario, il est forcément light. ou plutôt "profondément superficiel". Bien sur ce n'est pas un chef d’œuvre, mais il est hors du commun, il est créatif, il sort du lot, vraiment et simplement!


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  • C'est la petite routine du Mercredi après midi: avec Maman et Ma Sœur, le Cinoche.

    Cette semaine, j'ai suivis les avis d'un collègue: on a vu Un homme idéal

    "Mathieu, 25 ans, aspire depuis toujours à devenir un auteur reconnu. Un rêve qui lui semble inaccessible car malgré tous ses efforts, il n’a jamais réussi à être édité. En attendant, il gagne sa vie en travaillant chez son oncle qui dirige une société de déménagement…
    Son destin bascule le jour où il tombe par hasard sur le manuscrit d’un vieil homme solitaire qui vient de décéder. Mathieu hésite avant finalement de s’en emparer, et de signer le texte de son nom...
    Devenu le nouvel espoir le plus en vue de la littérature française, et alors que l’attente autour de son second roman devient chaque jour plus pressante, Mathieu va plonger dans une spirale mensongère et criminelle pour préserver à tout prix son secret…"

    Un Homme Idéal [Cinéma]


     

    Et bas mes loulous, je peu vous dire que ce fil est à la hauteur de son succès!!! Ce film est trépidant, on se prend dans l’engrenage avec Matthieu. A la fois il se forme une identification au personnage principal, on veut qu'il s'en sorte et en même temps son comportement deviens juste ahurissant.

    Les images de se film sont belles. Tout en contraste entre cette maison de bourge à la bonne éducation et ce qui s'y passe, entre cette beauté extérieur et cette folie morbide.

    Bon à la fin, on est un peu terrassé, mais c'est très certainement le film à voir cette semaine.


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  • Comme j'adore la pédophilie, la violence et la mort, je me suis précipité au ciné pour aller voir Big Bad Wolves.

    J'ai donc adoré cette petite perle israélienne, pleine de suspens, d'horreur... et d'humour !!! 

    C'est une film puissant, qui sème le doute dans la tête du spectateur, jusqu'au dernier instant. Ponctué de musique bonne, décalée, et émouvante avec une pincée d'humour.

    Et quelque scène dures.

    "Le meilleur film de l'année" selon Tarantino, je ne sais pas, mais pas loin !!!


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  • Et voilà un beau dimanche ensoleillé, à en faire péter le maillot de bain ! Bah moi non, déjà, je ne pète pas, puis je décide d'aller au ciné. Oui, encore une fois, oui. Je sais que ça fait 3 fois cette semaine.... Bientôt 4, j'ai pas vu Homesman, alors.

    Alors, voilà, mon choix se porte sur 2 jours, 1 nuit de Jean Pierre et Luc Dardenne. Je ne sais PAS DU TOUT qui c'est. No stress : Allociné est mon ami. Peut être le votre aussi. Ça nous ferais un sacré point commun !!!

    Alors Deux jours, une nuit c'est l'histoire de Sandra, une nana qui travail dans une entreprise de fabrication de panneaux solaires. Elle est à deux doigts de se faire licenciée sauf si elle convainc 9 personnes de renoncer à leur prime, pour elle. Et elle.... Deux jours, une nuit pour y arriver ! (Je suis sûre que vous aviez deviné !!)

    Ce film il est très fort. Déjà Marion Cotillard, au top de sa forme ! Elle joue à la perfection la nana déprimé qui abandonne. La nana qui reste simple, qui ne fait pas de grand discours, qui a du mal à se bouger mais qui le fait.

    J'ai pas envie de dévoiler le film, encore moins sa chute. Mais voilà, moi, ce que j'en retiens. Elle se bouge et en discutant avec ses collègues, elle réussit à faire bouger leur opinions. Que ce soit, dans l'immédiat une réussite ou un échec dans le résultat, elle sait que en se battant on arrive à faire bouger les choses. Et elle remonte plus forte de cette bataille.

    Bon, là je dévoile une partie du film, je vous invite à passer à l'article suivant si vous le désirez.

    La critique que j'ai à émettre c'est celle ci : les résultats à la fin, sont à l'image de ce que lui ont promis ses collègues. Je crois que dans la réalité c'est différent. Il y a ceux qui auraient dit oui, puis qui auraient préférés la prime, et il y a ceux qui auraient dit non, sur le coup et qui auraient changé d'avis. Elle ne l'aurait su que le jour J. Ca aurait mis en lumière qu'en parlant les choses bougent de manière imperceptible.

    Ce que je vois aussi c'est qu'elle n'y croit pas vraiment et qu'elle échoue. A l'image de la loi de l'attraction.

    A voir !!!

    Bon dimanche !!


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  • C'est samedi, quand un ami me propose un film, que je regarde ce qui passe au ciné. Et là, ô joie, le dernier Cronenberg. Premier film, de ce réalisateur, pour moi, vu sur le grand écran.

    Alors Cronenberg pour vous situer, il a réalisé : Dead Zone (1983), La Mouche (1986), Existenz (1999), A History of Violence (2005), les promesses de l'ombre en (2007). Entre autre.

    Il nous offre donc en ce moment : Maps to the Stars.

    Maps to the Stars c'est l'histoire d'Hollywood, de Benjie, 13 ans et déjà star, de son père, Sanford Weiss, auteur à succès et coach des célébrités et de sa cliente, la belle Havana Segrand, qu’il aide à se réaliser en tant que femme et actrice.

    Le scénario ne m'accroche pas, mais j'y vais les yeux fermés, je fais confiance à David. Car là encore, comme dans ses autres films il met en scène un rapport au corps très spécial, on y sent ses aspects... dégueulasses, répugnants et moites en opposition avec une esthétique parfaite, voir une excitation pour ce corps dégouttant.

    On a bien ce sentiment dans a les Promesses de l'ombre lorsque que Cassel et Mortensen, se battent nus. Ou dans A history of violence, cette scène dans l'escalier. Ici, il y a toujours ce corps, massé, douloureux, cette discussion dans la voiture, cette scène, où Havana est constipée.

    Je crois que cette opposition est travaillée à l'extrême : on a des personnages qui font des boulots de rêves, ils sont acteurs, gagnent 300 000 dollars par semaine, roulent en Mustang, ont des baraques à l'architecture parfaite. Et pourtant, ils sont les plus fragiles et les plus perturbés. Pire que les étudiants en fac de psycho. C'est dire ! Ils sont instables et veulent aider les autres. Ils sont nevrosés, mais ils veulent les guérir.

    Alors, est ce une critique de la société contemporaine? Comme pour mettre en évidences nos désirs matérialistes, alors que notre Paix Intérieure est tellement plus précieuse que n'importe quelle montagne de diamants du monde? Je ne sais pas. Je crois que c'est la façon dont moi je perçois ce film parce que ça fait sens dans ma vie.

    A voir, très certainement !!


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